Le monde du sexe est complètement différent au Japon

Quand on est curieux et que l’on se permet de taper le mot « sexe Japon » sur YouTube, il y a des tonnes de fausses vidéos pornographiques qui se montrent. Il y a même des photos sexy de 3 secondes, mais qui attirent beaucoup de clics. Il faut creuser un peu loin pour comprendre la mentalité et la culture japonaise à propos du sexe.

Le japon et le sexe

Les Japonais se montent très coopératifs quand il s’agit de sexe. D’une part, tellement les femmes sont séduisantes naturellement, que l’on en a fait des photos des femmes japonaises une idée de marketing. Et ça marche à tous les coups, car si l’on veut vendre une voiture, il suffit de poser la photo à moitié nue d’une femme japonaise et tout le monde se tourne la tête, et curieux d’en savoir plus sur la voiture. On peut se dire que c’est un coup de publicité, mais c’est une tactique qui marche à tous les coups.
C’est également au Japon que l’on trouve une personne ou des gens qui n’ont jamais fait l’amour et n’ont jamais fait des rencontres humaines. Ces gens-là préfèrent sortir avec une poupée en silicone, ou un personnage virtuel ou d’autres objets fétiches auxquels ils consacrent leur vie. En ce moment, leur nombre augmente, et ils se considèrent comme des asexués, qui n’ont pas de désir physique et qui ne veulent pas se casser la tête avec le sexe.

Mais il est vrai que quand un Japonais plonge dans le monde du sexe, il ne sait pas montrer de la délicatesse et préfère le sexe à la perverse. C’est pour cela que l’on parle du Hentai, et du comics porno avec des Japonais. Ils aiment évoquer leurs sentiments d’une façon brutale et complètement absurde des fois, mais c’est leur caractère et cela est devenu une culture au Japon.

Une virée sur la culture sexuelle japonaise

La pornographie est devenue un gadget très efficace pour réduire les impôts au Japon. Oui, la prostitution est permise au Japon et quand un homme se paye une fille, il a le droit de déduire la somme qu’il a déboursée à son impôt. Il y a tout de même une certaine pratique liée à la sexualité qui a disparu et pourtant, c’était une activité plutôt sympathique, c’est le « no pants », ou sans pantalon. Ce dernier était un événement très populaire au Japon, et il y a même des endroits fréquentés par tout le monde avec des servantes sans-culottes, dont le sol se couvrait de miroirs et sous la jupette, tout le monde était au courant de tout ce qui se passe sous la jupe de la fille. Cette pratique s’est évoluée encore plus dans le sens du pervers et jusque dans les lycées, vu qu’au Japon, le sexe est autorisé à partir de 13 ans.

D’une part, le sexe au Japon est lié à une certaine pratique du fétichiste et suite aux images qui expliquent cette pratique, elle a été interdite au Japon durant le confinement. Du coup, la pratique sexuelle a vraiment été bannie de la société et en ce moment, plus personne n’y pense.